COMMENT CHOISIR SON ANTIFOULING / CARÉNAGE

Il existe 2 types d’antifouling. Les matrices dures et les érodables et suivant le support. Le support plus répandu est le polyester. Il existe aussi le bois, les aciers et les alus. Une 3e catégorie est la peinture semi-érodable, intermédiaire entre une matrice dure et une matrice érodable.

Les matrices dures sont préconisées pour les professionnels dont le nombre d’heure de navigation est important, pour les bateaux rapides de plus de 40 nœuds, pour les adeptes des mises sur sangles, pour ceux qui profitent d’une baignade pour gratter la coque, pour les régatiers qui doivent avoir un glaçage de l’antifouling pour une glisse parfaite, pour tous ceux qui subissent l’abrasion de l’antifouling au nettoyeur haute pression, à l’action abrasive de l’eau ou au ponçage.

Les matrices érodables sont pour les plaisanciers pour des navigations de moins de 40 nœuds. Pour la Grande Motte cela doit représenter une très grande partie des bateaux.

Les matrices dures ou érodables ont la même protection d’antifouling. Les couleurs importent peu. La température de l’eau joue un rôle ainsi que la fréquence de navigation et la place au port qui peut être à fort courant ou en eaux stagnantes.

Comment choisir son antifouling :

Le poids à sec correspond à la quantité de biocide contenu dans la peinture. Souvent plus le prix est élevé plus la quantité de biocide est importante. Cette indication se trouve sur le pot de peinture

L’application et quantité :

Le nombre de couches importe peu. Le plus important est la quantité. Pour cela se référer à un tableau de correspondance entre le type de la coque et sa longueur. Il est possible de tout déposer en une seule couche ou pour plus de sécurité en 2 couches qui permettra de repasser sur d’éventuel manque de la 1er couche. Pour certain bateau il est bien de doubler la ligne de flottaison. L’idéal est de doubler la ligne en 1er passe quand la ligne d’eau est encore visible.

Précaution :

Avant d’ouvrir le pot d’antifouling vérifié la date de péremption, si vous avez la bonne matrice. Bien mélanger au mélangeur sur perceuse pour éviter les dépôts de biocide au fond du pot. Bien choisir son rouleau. Les laqueurs auront un effet plus lisse que les poils longs. Les adeptes des pattes de lapin et des gros rouleaux feront leur choix.

La durée de vie :

Une nouvelle couche est recommandée tous les ans. Ce sera aussi le moment de changer les anodes et de faire un état général de la coque pour vérifier l’apparition de bulles d’osmose, d’éventuels coups subits en navigation et de l’accroche de la peinture.

Vers 10 ans des phénomènes de croûtes dus au décollement des premières couches de peinture sont de plus en plus importantes allant jusqu’au primaire. Il est temps de prévoir un aérogommage.

L’aérogommage :

C’est un sablage à sec avec un grain très fin qui aura pour action de pulvériser la peinture sans abîmer le gelcoat. L’avantage de l’aérogommage c’est que nous travaillons à sec sans adjonction d’eau sur la surface du gelcoat ni en profondeur. Un léger martelage du gelcoat permettra une bonne accroche d’un primaire qui aura pour action de renforcer l’imperméabilité du gelcoat et une bonne accroche du nouvel antifouling. Choisissez un primaire époxy et un antifouling compatible avec des couleurs différentes pour un effet contraste. 2 couches de primaire et 2 couches d’antifouling sont préconisées à la première application.

Les hélices, arbres d’hélices, chaises et safran en métal.

Il est important de choisir un antifouling spécial pour ces parties-là avec un primaire. Une préparation minutieuse est très importante. Je préconise un nettoyage et surtout un grattage mécanique pour éviter de mauvaises réactions avec des produits chimiques de type acides qui demande un rinçage impeccable. Si ce n’était pas le cas nous aurions probablement pour conséquence un décollement de peinture ou de tuer le biocide contenu dans la peinture antifouling.

La préparation avant l’application du primaire est importante. Les surfaces doivent être propres et bien dégraisser avec un dégraissant spécial métal. Un rayage suffisant pour une bonne accroche du primaire, de bien respecter les temps de surcouchage entre 2 couches de peinture et le temps de séchage avant de remettre le bateau à l’eau.

COMMENT CHOISIR SON ANTIFOULING / CARÉNAGE

Il existe 2 types d’antifouling. Les matrices dures et les érodables et suivant le support. Le support plus répandu est le polyester. Il existe aussi le bois, les aciers et les alus. Une 3e catégorie est la peinture semi-érodable, intermédiaire entre une matrice dure et une matrice érodable.

Les matrices dures sont préconisées pour les professionnels dont le nombre d’heure de navigation est important, pour les bateaux rapides de plus de 40 nœuds, pour les adeptes des mises sur sangles, pour ceux qui profitent d’une baignade pour gratter la coque, pour les régatiers qui doivent avoir un glaçage de l’antifouling pour une glisse parfaite, pour tous ceux qui subissent l’abrasion de l’antifouling au nettoyeur haute pression, à l’action abrasive de l’eau ou au ponçage.

Les matrices érodables sont pour les plaisanciers pour des navigations de moins de 40 nœuds. Pour la Grande Motte cela doit représenter une très grande partie des bateaux.

Les matrices dures ou érodables ont la même protection d’antifouling. Les couleurs importent peu. La température de l’eau joue un rôle ainsi que la fréquence de navigation et la place au port qui peut être à fort courant ou en eaux stagnantes.

Comment choisir son antifouling :

Le poids à sec correspond à la quantité de biocide contenu dans la peinture. Souvent plus le prix est élevé plus la quantité de biocide est importante. Cette indication se trouve sur le pot de peinture

L’application et quantité :

Le nombre de couches importe peu. Le plus important est la quantité. Pour cela se référer à un tableau de correspondance entre le type de la coque et sa longueur. Il est possible de tout déposer en une seule couche ou pour plus de sécurité en 2 couches qui permettra de repasser sur d’éventuel manque de la 1er couche. Pour certain bateau il est bien de doubler la ligne de flottaison. L’idéal est de doubler la ligne en 1er passe quand la ligne d’eau est encore visible.

Précaution :

Avant d’ouvrir le pot d’antifouling vérifié la date de péremption, si vous avez la bonne matrice. Bien mélanger au mélangeur sur perceuse pour éviter les dépôts de biocide au fond du pot. Bien choisir son rouleau. Les laqueurs auront un effet plus lisse que les poils longs. Les adeptes des pattes de lapin et des gros rouleaux feront leur choix.

La durée de vie :

Une nouvelle couche est recommandée tous les ans. Ce sera aussi le moment de changer les anodes et de faire un état général de la coque pour vérifier l’apparition de bulles d’osmose, d’éventuels coups subits en navigation et de l’accroche de la peinture.

Vers 10 ans des phénomènes de croûtes dus au décollement des premières couches de peinture sont de plus en plus importantes allant jusqu’au primaire. Il est temps de prévoir un aérogommage.

L’aérogommage :

C’est un sablage à sec avec un grain très fin qui aura pour action de pulvériser la peinture sans abîmer le gelcoat. L’avantage de l’aérogommage c’est que nous travaillons à sec sans adjonction d’eau sur la surface du gelcoat ni en profondeur. Un léger martelage du gelcoat permettra une bonne accroche d’un primaire qui aura pour action de renforcer l’imperméabilité du gelcoat et une bonne accroche du nouvel antifouling. Choisissez un primaire époxy et un antifouling compatible avec des couleurs différentes pour un effet contraste. 2 couches de primaire et 2 couches d’antifouling sont préconisées à la première application.

Les hélices, arbres d’hélices, chaises et safran en métal.

Il est important de choisir un antifouling spécial pour ces parties-là avec un primaire. Une préparation minutieuse est très importante. Je préconise un nettoyage et surtout un grattage mécanique pour éviter de mauvaises réactions avec des produits chimiques de type acides qui demande un rinçage impeccable. Si ce n’était pas le cas nous aurions probablement pour conséquence un décollement de peinture ou de tuer le biocide contenu dans la peinture antifouling.

La préparation avant l’application du primaire est importante. Les surfaces doivent être propres et bien dégraisser avec un dégraissant spécial métal. Un rayage suffisant pour une bonne accroche du primaire, de bien respecter les temps de surcouchage entre 2 couches de peinture et le temps de séchage avant de remettre le bateau à l’eau.

COMMENT CHOISIR SON ANTIFOULING / CARÉNAGE

Il existe 2 types d’antifouling. Les matrices dures et les érodables et suivant le support. Le support plus répandu est le polyester. Il existe aussi le bois, les aciers et les alus. Une 3e catégorie est la peinture semi-érodable, intermédiaire entre une matrice dure et une matrice érodable.

Les matrices dures sont préconisées pour les professionnels dont le nombre d’heure de navigation est important, pour les bateaux rapides de plus de 40 nœuds, pour les adeptes des mises sur sangles, pour ceux qui profitent d’une baignade pour gratter la coque, pour les régatiers qui doivent avoir un glaçage de l’antifouling pour une glisse parfaite, pour tous ceux qui subissent l’abrasion de l’antifouling au nettoyeur haute pression, à l’action abrasive de l’eau ou au ponçage.

Les matrices érodables sont pour les plaisanciers pour des navigations de moins de 40 nœuds. Pour la Grande Motte cela doit représenter une très grande partie des bateaux.

Les matrices dures ou érodables ont la même protection d’antifouling. Les couleurs importent peu. La température de l’eau joue un rôle ainsi que la fréquence de navigation et la place au port qui peut être à fort courant ou en eaux stagnantes.

Comment choisir son antifouling :

Le poids à sec correspond à la quantité de biocide contenu dans la peinture. Souvent plus le prix est élevé plus la quantité de biocide est importante. Cette indication se trouve sur le pot de peinture

L’application et quantité :

Le nombre de couches importe peu. Le plus important est la quantité. Pour cela se référer à un tableau de correspondance entre le type de la coque et sa longueur. Il est possible de tout déposer en une seule couche ou pour plus de sécurité en 2 couches qui permettra de repasser sur d’éventuel manque de la 1er couche. Pour certain bateau il est bien de doubler la ligne de flottaison. L’idéal est de doubler la ligne en 1er passe quand la ligne d’eau est encore visible.

Précaution :

Avant d’ouvrir le pot d’antifouling vérifié la date de péremption, si vous avez la bonne matrice. Bien mélanger au mélangeur sur perceuse pour éviter les dépôts de biocide au fond du pot. Bien choisir son rouleau. Les laqueurs auront un effet plus lisse que les poils longs. Les adeptes des pattes de lapin et des gros rouleaux feront leur choix.

La durée de vie :

Une nouvelle couche est recommandée tous les ans. Ce sera aussi le moment de changer les anodes et de faire un état général de la coque pour vérifier l’apparition de bulles d’osmose, d’éventuels coups subits en navigation et de l’accroche de la peinture.

Vers 10 ans des phénomènes de croûtes dus au décollement des premières couches de peinture sont de plus en plus importantes allant jusqu’au primaire. Il est temps de prévoir un aérogommage.

L’aérogommage :

C’est un sablage à sec avec un grain très fin qui aura pour action de pulvériser la peinture sans abîmer le gelcoat. L’avantage de l’aérogommage c’est que nous travaillons à sec sans adjonction d’eau sur la surface du gelcoat ni en profondeur. Un léger martelage du gelcoat permettra une bonne accroche d’un primaire qui aura pour action de renforcer l’imperméabilité du gelcoat et une bonne accroche du nouvel antifouling. Choisissez un primaire époxy et un antifouling compatible avec des couleurs différentes pour un effet contraste. 2 couches de primaire et 2 couches d’antifouling sont préconisées à la première application.

Les hélices, arbres d’hélices, chaises et safran en métal.

Il est important de choisir un antifouling spécial pour ces parties-là avec un primaire. Une préparation minutieuse est très importante. Je préconise un nettoyage et surtout un grattage mécanique pour éviter de mauvaises réactions avec des produits chimiques de type acides qui demande un rinçage impeccable. Si ce n’était pas le cas nous aurions probablement pour conséquence un décollement de peinture ou de tuer le biocide contenu dans la peinture antifouling.

La préparation avant l’application du primaire est importante. Les surfaces doivent être propres et bien dégraisser avec un dégraissant spécial métal. Un rayage suffisant pour une bonne accroche du primaire, de bien respecter les temps de surcouchage entre 2 couches de peinture et le temps de séchage avant de remettre le bateau à l’eau.

COMMENT CHOISIR SON ANTIFOULING

Il existe 2 types d’antifouling. Les matrices dures et les érodables et suivant le support. Le support plus répandu est le polyester. Il existe aussi le bois, les aciers et les alus. Une 3e catégorie est la peinture semi-érodable, intermédiaire entre une matrice dure et une matrice érodable.

Les matrices dures sont préconisées pour les professionnels dont le nombre d’heure de navigation est important, pour les bateaux rapides de plus de 40 nœuds, pour les adeptes des mises sur sangles, pour ceux qui profitent d’une baignade pour gratter la coque, pour les régatiers qui doivent avoir un glaçage de l’antifouling pour une glisse parfaite, pour tous ceux qui subissent l’abrasion de l’antifouling au nettoyeur haute pression, à l’action abrasive de l’eau ou au ponçage.

Les matrices érodables sont pour les plaisanciers pour des navigations de moins de 40 nœuds. Pour la Grande Motte cela doit représenter une très grande partie des bateaux.

Les matrices dures ou érodables ont la même protection d’antifouling. Les couleurs importent peu. La température de l’eau joue un rôle ainsi que la fréquence de navigation et la place au port qui peut être à fort courant ou en eaux stagnantes.

Comment choisir son antifouling :
Le poids à sec correspond à la quantité de biocide contenu dans la peinture. Souvent plus le prix est élevé plus la quantité de biocide est importante. Cette indication se trouve sur le pot de peinture

L’application et quantité :
Le nombre de couches importe peu. Le plus important est la quantité. Pour cela se référer à un tableau de correspondance entre le type de la coque et sa longueur. Il est possible de tout déposer en une seule couche ou pour plus de sécurité en 2 couches qui permettra de repasser sur d’éventuel manque de la 1er couche. Pour certain bateau il est bien de doubler la ligne de flottaison. L’idéal est de doubler la ligne en 1er passe quand la ligne d’eau est encore visible.

Précaution :
Avant d’ouvrir le pot d’antifouling vérifié la date de péremption, si vous avez la bonne matrice. Bien mélanger au mélangeur sur perceuse pour éviter les dépôts de biocide au fond du pot. Bien choisir son rouleau. Les laqueurs auront un effet plus lisse que les poils longs. Les adeptes des pattes de lapin et des gros rouleaux feront leur choix.

La durée de vie :
Une nouvelle couche est recommandée tous les ans. Ce sera aussi le moment de changer les anodes et de faire un état général de la coque pour vérifier l’apparition de bulles d’osmose, d’éventuels coups subits en navigation et de l’accroche de la peinture.
Vers 10 ans des phénomènes de croûtes dus au décollement des premières couches de peinture sont de plus en plus importantes allant jusqu’au primaire. Il est temps de prévoir un aérogommage.

L’aérogommage :
C’est un sablage à sec avec un grain très fin qui aura pour action de pulvériser la peinture sans abîmer le gelcoat. L’avantage de l’aérogommage c’est que nous travaillons à sec sans adjonction d’eau sur la surface du gelcoat ni en profondeur. Un léger martelage du gelcoat permettra une bonne accroche d’un primaire qui aura pour action de renforcer l’imperméabilité du gelcoat et une bonne accroche du nouvel antifouling. Choisissez un primaire époxy et un antifouling compatible avec des couleurs différentes pour un effet contraste. 2 couches de primaire et 2 couches d’antifouling sont préconisées à la première application.

Les hélices, arbres d’hélices, chaises et safran en métal.
Il est important de choisir un antifouling spécial pour ces parties-là avec un primaire. Une préparation minutieuse est très importante. Je préconise un nettoyage et surtout un grattage mécanique pour éviter de mauvaises réactions avec des produits chimiques de type acides qui demande un rinçage impeccable. Si ce n’était pas le cas nous aurions probablement pour conséquence un décollement de peinture ou de tuer le biocide contenu dans la peinture antifouling.
La préparation avant l’application du primaire est importante. Les surfaces doivent être propres et bien dégraisser avec un dégraissant spécial métal. Un rayage suffisant pour une bonne accroche du primaire, de bien respecter les temps de surcouchage entre 2 couches de peinture et le temps de séchage avant de remettre le bateau à l’eau.

RÉNOVATION DE BATEAU

Pour garder une longévité de votre bateau, il n’y a pas de solution miracle, c’est l’entretien. Laver votre bateau le plus régulièrement possible. Tous les mois avec une centrale anticalcaire est l’idéal. Cela permet d’éviter le vieillissement prématuré de tous les éléments de votre bateau agresser par le sel, le vent, la pluie et le soleil.
Si vous avez le désir de faire appel à une tierce personne, assurez-vous que ce soi un professionnel technicien du nautisme avec suffisamment d’expérience pour déceler les anomalies et de les régler avant que les dommages ne prennent trop d’ampleurs. Il faut aussi utiliser les bons produits protecteurs de tous les composants de votre bateau, le gelcoat, les inox, le teck, les cordages, et les tissus.
Ces produits protecteurs sont souvent efficaces pour des bateaux très peu sales. Pour des bateaux très sales, 2, 3 ou 4 lavages par an, vous pouvez utiliser des produits performant mais pour le coup agressif.

Gommage, retrait antifouling

Gommage

Vous avez plusieurs couches d’anti-fooling sur votre coque avec un effet millefeuille et des défauts de surface.
Cela a pour conséquence une mauvaise glisse et donc une perte de vitesse.
Avec le gommage, les voiliers gagneront quelques noeuds, les bateaux à moteur économiseront sur leur carburant.
Après le décapage de la coque, nous procédons à l’application d’un primaire époxie et d’un antifooling.
Sur certains gelcoat abimés, un enduit localisé peut être préconisé.
Dans les cas les plus importants, un ratissage complet de la coque peut être nécessaire.

Cliquez sur l’image pour l’agrandir / Click on the image to enlarge